Ça CEst Passé Simplement 7
Mardi 28 mai 1985
Le lendemain, jétais au bureau de bonne heure, quand tout le staff administratif passait avec le rituel habituel, sauf Mireille qui rentrant un peu dans mon bureau, se passant la langue sur ses lèvres légèrement ouvertes, mimant ainsi le geste quelle faisait en suçant, quoi,
, une glace, bien entendu ! Puis elle me fit un petit geste amical de la main et sen alla. La chose que je remarquais, cest quelle portait cette jupe, type trapèze, fermée par de gros boutons espacés, et un corsage, disons une blouse, relativement grande, par dessus sa jupe. Ce nétait pas dans ses habitudes mais cétait peut-être une invite, mais
cétait impossible ne rêvons pas.
En fait cette semaine, nous naurions pas la possibilité de nous voir, Mireille étant bloquée au bureau et moi finissant ma tournée dadieu. Quelques minutes après la pose café, Mireille arriva dans mon bureau, jétais en train de classer des dossiers, donc derrière la porte quand elle était ouverte.
Elle sapprocha de moi et dit : « Jai 10 minutes de tranquillité, prends moi dans tes bras, sers moi fort, très fort.
Embrasses moi
»
Moi : « Tu es folle »
Elle : « Oui de toi, prends moi dans tes bras, vite »
Cest évidemment ce que je fis, tout en surveillant la porte entrebâillée. Elle sétait collée contre moi et son baiser, cétait comme dhabitude, avec ses lèvres mais aussi avec tout son corps, ce qui entrainait rapidement des réactions physiques incontrôlables chez moi. Jen profitais pour glisser mes mains sous sa blouse et en la serrant, je lui caresser le dos.
Elle : « Jaime sentir tes mains sur ma peau, ça mexcite,
ça mélectrise,
je ne sais plus ce que je fais, .., continues,
OOOhh, cest bon,
jaime ?
jen frissonne de plaisir et
»
En reculant un peu le torse je pouvais prendre en main ses seins, qui étaient déjà durs et gonflés et je les tripotais avec énergie. Les soupirs progressaient avec mes caresses.
En soupirant elle murmura « Jai envie de toi,
la semaine prochaine tu seras parti,
et cette semaine on ne pourra pas se voir,
une dernière fois, fais moi lamour,
dis moi ce que tu veux, ce dont tu as envie ?
, jaime entendre ce que tu veux faire et me faire,
je te veux,
»
Moi : « Tu sais ce qui me ferait plaisir »
Elle : « Oui dis moi, ..., oui dis moi »
Moi : « Je voudrais que tu me donnes une touffe des poils de ta chatte, en souvenir. Ceux qui sentent ton odeur, que jaime »
Elle : « Oui, mais tu as vu je les ai taillé, jaime les avoirs courts, mais jy penserais.
Tu as vu jai remis la même jupe que hier. Tu ne trouves pas quelle est pratique,
prends moi avec tes doigts comme hier,
oui, fais moi jouir avec tes doigts,
»
Je glissais donc une main entre nous deux qui sintroduisit dans la jupe entre les boutons et atteignit rapidement sa chaude intimité libre de tout obstacle. Elle voulait que je la fasse jouir, ça mexcitait, ce challenge, bien que chaude je devais pourvoir la faire jouir rapidement.
Je commençais par juste une caresse sur les grosses lèvres et une rapide pénétration du majeur et de lindex dans sa chaude intimité, qui nentraina quun « OOOHHH
oui,
».
Complaisamment Mireille écarta légèrement les cuisses et avançant son bassin sempala sur mes doigts.
Elle : « Ouiiii, .. , Ouiii,
, cest bon, .. continues,
oh que cest bon, .. .je veux être à toi,
je suis folle,
je veux que tu me baises, ..., je veux être à toi une dernière fois,
continues,
je vais jouir,
je JUOIIIIIS,
oh oh oh
, OUIIII,
»
Elle eut un orgasme conséquent suivi dun spasme qui lui fit serrer les cuisses. Quelques secondes et je pus sortir ma main de la pince de ses cuisses. Elle la prit et me regardant dans les yeux, et portant mes doigts à sa bouche et les suça avec application. Cette façon de sucer mes doigts ne fit quaugmenter mon érection et je laurais facilement et immédiatement sautée, si nous navions pas été au bureau et les risques encourus.
Soudain on entendit une des comptables crier : « Mireille téléphone, tes où ? »
Quelques secondes et Mireille répondit un peu troublée : « Passes le moi chez Jean »
Elle prit le téléphone qui était sur un coin de mon bureau, de lautre coté, pour se faire, elle due se pencher. Masseyant à mon bureau, javais un aperçu sur son petit décolleté. Je tendais la main et je défis le premier bouton de sa blouse, ce qui en augmentant le décolleté me permettait davoir une vue intéressante sur ses seins. Jhésitais un dixième de seconde et je plongeais ma main dans son décolleté et lui prenais un sein dont je caressais le téton avec la paume de ma main. Il y eut un OOOHHH qui du surprendre son interlocuteur à qui elle dit : « Ecoutez, je vous comprends et je suis désolé, mais je suis en réunion, je vous rappelle sans faute demain. Excusez moi » et elle raccrocha, sans bouger mais en me disant : « Tu es content de toi,
que va penser le client,
arrêtes,
tu mavais calmée,
si tu continues, tu me prends de suite, tu me fais lamour,
ici,
»
Pendant sa réaction, jattrapais lautre sein encore dans la blouse et ayant les deux dans les mains, je les caressais puis les malaxais avec une douce énergie, insistant sur les tétons qui étaient devenus durs à percer un corsage.
Elle : « Arrêtes, alors que je métais un peu calmée, tu est en train de mexciter de nouveau. Où veux-tu en venir ? »
Moi : « Tu vois dans quel état tu mas mis, et je fais quoi ? »
Elle : « Et quest ce que tu veux faire ? »
Moi : « Jai envie de toi, jai envie de te caresser, de te baiser,
»
Elle : « Tu es fou, et tu veux faire ça où ? »
Moi : « Ici, tu restes comme tu es, tu relèves ta jupe, je peux voir ton joli cul, et je te prends ta chatte ou ta rosette »
Elle : « Tu me tentes,
mais on ne peux rien faire ici, .., tu le sais. Attends,
jai une idée,
on va aux archives, on sera tranquille »
Moi : « Pourquoi pas, si tu me donnes ce que je veux »
Elle : « Oui,
et tu sais que jen ai autant envie que toi, on se retrouve aux archives et je serais à toi,
comme tu veux,
jy descends cinq minutes après tu viens,
jespère que tu seras en forme,
je vais être exigeante,
»
Effectivement la salle des archives se trouvait au rez-de-chaussée, au fond du couloir des bureaux.
Je me réinstallais à mon bureau en imaginant ce que nous allions faire, content, mais inquiet quand même, je trouvais que lon prenait de gros risques, mais javais une sacrée trique.
Mireille passa, quelques minutes après je descendais au rez-de-chaussée, la réceptionniste était au téléphone et ne me vit pas. Je rentrais dans la salle aux archives. Cette pièce était remplie détagères toutes parallèles. Je trouvais Mireille au fond à droite. Il est vrai que lemplacement était idéal, impossible dêtre visible de la porte dentrée. A peine arrivée, Mireille mouvrit les bras et nous nous embrassâmes aussi goulument quune première fois.
Elle : « Je vois que tu es en forme, je vais moccuper de ça,
mais après je veux que tu me fasses lamour, enfin que tu me baises,
fort,
très fort,
»
Moi : « Mais »
Elle « Tais-toi, je moccupe du plus urgent, si je ne fais rien tu vas éclater »
Saccroupissant, elle ouvrit ceinture et braguette et descendit le tout, sortant ainsi mon engin quelle regarda, comme si cétait la première fois et elle se mit au travail avec sérieux.
Elle : « Jaime ton sexe,
jaime le caresser, le lécher, le sucer,
cest ma drogue » et elle commença par me caresser du bout des doigts, puis se fut un léger grattement avec les ongles, puis des grands coups de langue sur toute la longueur. Puis sa langue lécha mon gland, tenant bien en main ma queue elle lenveloppa de sa bouche et caressa le gland avec le bout de la langue, ce qui devenait très difficile à supporter. Le tout accompagné de « grognements » de satisfaction. Puis elle se mit à me pomper avec énergie, terminant souvent par un enveloppement chaud du gland. Cétait douloureusement agréable. Mais si ce quelle faisait était extraordinairement bon, et elle voulait se faire sauter enfin, faire lamour, cela risquait dêtre compromis par le traitement en cours.
Alors que je « subissais » ce traitement les yeux fermés pour apprécier ce que faisait ma partenaire, tout à coup jouvris les yeux et vis Mireille la jupe remontée, les cuisses largement ouvertes, avec une main qui sactivait furieusement dans son entrejambe.
Je remontais dans mon bureau la réceptionniste était au téléphone et ne saperçut presque pas de mon passage. Elle laurait oublié dans une demi heure.
Quelques instants après Mireille passait et rejoignait son bureau. Je décidais de tenter de la revoir avant de partir pour mes rendez-vous de la dernière semaine et jallais dans son bureau un dossier à la main et je pensais, ces temps on fait prendre lair aux dossiers.
Moi : « Je déplace deux rendez-vous et on pourrait se retrouver à midi tranquillement,
par exemple où nous étions hier,
pour un dernier adieu,
je te ferais lamour gentiment »
Elle : « Tu ne penses pas que tu exagères, tu s de moi,
tu viens, tu siffles et comme une bonne chienne, jarrive,
attends,
je dois aller en ville, pour des contacts à la DDE.
Je marrange pour en finir rapidement et on se retrouve,
mais Je ne veux pas de lamour gentiment, je veux que tu me baises, fort, très fort, je veux que tu me caresses partout, je veux sentir tes mains sur ma peau, je veux jouir, je veux que tu me donnes du plaisir, je veux mévanouir de plaisir »
En attendant larrivée de Mireille, je me disais que, certes à mon âge javais connu quelques femmes mais aimant le sexe comme elle, jamais. Je lavais côtoyé pendant environ 4 ans, je ne laurais jamais imaginé comme je la voyais et la pratiquais aujourdhui, et je me demandais jusquoù elle était capable daller.
Environ dix minutes après mon arrivé à lendroit prévu, Mireille arriva et se gara à coté de ma voiture. Par courtoisie je descendis de voiture pour laccueillir, en ouvrant les bras dans lesquels elle vint se blottir. Et lun contre lautre nous commençâmes à nous caresser, nos bouches se retrouvèrent et nos langues entreprirent de se lécher, se caresser. Tout son corps, collé contre le mien, vibrait et ondulait au rythme de ce baiser. Jen profitais pour glisser les mains sous sa blouse et la caresser, parcourant son dos en tout sens, puis soulevant sa jupe jentreprenais ses fesses.
Enfin la soulevant je la fis sasseoir sur le capot de la voiture et je me plaçais entre ses jambes écartées, tout en continuant mes caresses partout où mes mains avaient accès. Cest alors que Mireille déboutonna sa blouse pendant que jen faisais autant de sa jupe. Elle ouvrit les bras faisant jaillir ses seins, et me les offrit : « Prends les,
suces les,
aspires les,
jaime quand tu les fais durcir,
» Je les avais pris en bouche et les tétais, lun après lautre pour enfin men remplir la bouche et terminé en mordillant les tétons jaillissant et durs. Le tout ponctué de « OOOHHH,
oui,
, encore,
». La jupe étant ouverte sur ses cuisses elle les écarta largement : « Tu vois cest à toi, prends moi,
donnes moi du plaisir,
baises moi,
fais moi jouir,
oui, fais moi jouir,
continues de me caresser, jaime tes mains sur ma peau,
»
Pendant cette agréable orgie de seins, mes mains continuaient à la caresser. Elle avait une peau dune douceur excitante qui vibrait au passage de mes mains.
Puis je glissais sur ses cuisses et surtout sur lintérieur de ses cuisses en mapprochant de son intimité. La peau était chaude, douce, excitante. Enfin jatteignis sa chatte chaude et trempée dexcitation, dont les lèvres étaient gonflées. Puis je méloignais de cette source chaude et y revenais, sans jamais toucher au minou. La réaction ne se fit pas attendre : « Arrêtes ce jeux pervers,
prends ma chatte,
jen ai envie, ..., elle souvre pour toi,
». Je mexécutais et posant ma main sur ses grosses lèvres, commençais à les caresser, mon majeur suivant leur sillon, qui effectivement semblait souvrir à mon passage. Me glissant entre ses cuisses, je décidais de la chauffer un peu plus et je mapprochais de sa chatte dont lodeur me saoulait. Son minou et sa toison étaient trempés de son jus de plaisir. Jentrepris de la lécher en même temps que jy enfonçais deux doigts. La réaction ne se fit pas attendre : « Ouiiii,
oh, cest bon,
, jaime sentir ta langue me fouiller,
, ouiiii, encore,
non arrêtes ,
, je veux que tu me prennes,
, si tu continues je vais jouir,
et je veux que tu me fasses lamour,
, oui, baises moi,
, arrêtes,
, baises moi fort,
»
Je marrêtais et attirant ma tête, elle membrassa et lécha mes lèvres qui étaient imprégnées de son odeur. Etant debout entre ses cuisses, Mireille entreprit de se diriger vers ma braguette, qui cachait une forte érection et sa réaction fut : « Cest pas possible tes encore habillé »
Moi : « Jattendais que tu toccupes de la chose,
et jaimerais que tu vérifies que je suis en forme
avec ta bouche,
»
Elle : « OH, oui, pour une fois où tu demandes quelque chose,
oh oui, défais toi,
je suis sure de pouvoir te mettre en forme »
Rapidement pantalon et caleçon furent abaissés et se laissant glisser du capot elle saccroupit et voyant la chose dit : « Je pense que tu es en forme, mais un petit traitement devrait améliorer la chose ». A grands coups de langues elle raviva ma tige, avant de prendre le gland dans le fourreau de sa bouche et enfin mavaler entièrement.
Après ce traitement je lui dis : « Si tu continues à ce rythme, je ne pourrais plus thonorer,
te faire lamour, .., arrêtes,
»
Elle eut la gentillesse de sarrêter et revenant se coller à moi dit : « Oui, prends moi,
jai envie de toi,
je veux te sentir me pénétrer,
fais moi jouir,
oui,
montes moi,
jaime que tu me prennes comme ça,
»
Moi : « Tournes toi et appuis toi sur le capot »
Elle : « Non,
pas comme ça,
, je veux comme hier,
» elle ouvrit sa voiture et sortit la couverture et se mettant à genoux dessus : « Viens,
prends moi comme ça,
je veux que tu me montes,
prends ce dont tu as envie,
ne me fais pas attendre,
tu le fais exprès de me faire attendre,
, tu me rends folle,
rentres,
je tattends,
, cest ta queue que je veux,
baises moi,
».
Je mapprochais de sa chaude et réceptive intimité, Elle me saisit et me guida dans sa chatte que jinvestissais dun seul coup de rein. Cramponné à ses hanches je commençais mes va et vient espérant avoir rapidement des commentaires, me permettant dapprécier ma prestation. Effectivement la sono voulu bien démarrer assez vite : « OOOHHHH,
oui, jaime que tu me prennes fort, .. .oui, continues,
,cest bon,
».
Tout dun coup je me souvins, quelle avait aimé que je lui claque les fesses, bien que ce ne soit pas vraiment ma façon dêtre avec une femme, je pensais que cela mettrait un peu de piquant dans notre partie de baise et cest que je fis. Oh pas une grande et brutale claque, mais quand même une bonne tape sur la fesse droite, ce qui entraina une contraction subite de ses muscles internes, sur ma tige, sensation agréable et une réaction sonore de Mireille : « OOOHHH , .. oui,
, jaime ça,
, jaime te sentir en moi,
, ne tarrêtes pas,
» . Du coup je claquais cette fois la fesse gauche et la réaction fut la même, contraction subite de ses muscles internes sur ma bite, ce qui augmenta la pression et je sentais quil fallait que je me dépêche de la faire jouir, car je ne pensais pouvoir tenir encore longtemps à ce rythme dautant quelle en demandait encore et nous eûmes le dialogue le plus excitant et fou dune sensualité incroyable, que je naurais jamais imaginé avoir avec une femme.
Elle : « OOOHHH,
jaime quand tu me montes,
dis moi que je suis ta salope,
et que tu aimes me monter,
me baiser,
».
Moi : « Oui, tes ma salope que jaime baiser,
jaime fourrer ta chatte,
»
Elle : « OOOHHH, que cest bon,
, jaime ce que tu dis,
, oui fourres moi la chatte,
, remplis moi de ton jus,
OOOHHH,
, ouiiii,
, jaime être à toi,
, jaimes mouvrir pour toi,
oui tu me rends folle,
»
Moi : « Oui, jaime te monter,
»
Elle : « Oui,
jaime que tu me montes dessus,
ça me fait jouir,
continues,
je vais jouir,
OOOHHHH,
OUIIIII,
ne tarrêtes pas,
.OUIIIIIIII,
je JOUIIIIIS
»
A peine terminée sa phrase, je me vidais dun seul coup, dans sa chatte ouverte et chaude. Elle eut un bel orgasme qui la fit se contracter suivit dun gros spasme, qui faillit méjecter de son chaud fourreau. Se retournant elle se colla, non, nous nous collâmes lun à lautre. Ses lèvres se joignirent aux miennes pour un long et chaud baiser où nos langues se caressèrent, nos bouches se sucèrent. Elle se recula et saccroupissant, elle prit mon sexe, qui après, ce qui venait de se passer avait perdu de son prestige et me dit : « Je nai pas fini,
je veux gouter à notre jus damour quand il est mélangé » Effectivement elle recommença à me caresser et me prit en bouche et se mit à me sucer légèrement, pour enfin terminer en me léchant le gland, je rangeais, enfin, mes outils. Elle se releva se recolla contre moi et me dit : « Jai aimé que tu me prennes, oui, que tu me montes,
, jaime ce que tu me fais,
, avec toi, je deviens folle,
je fais ce que tu veux,
, jai limpression dêtre ta chienne,
, tu siffles jarrive, .., je ne me reconnais plus, .., tu peux être fière de toi,
» et collée contre moi, : « Jai encore envie de toi,
, mais il faut que je rentre,
»
Et nous partîmes chacun de notre coté.
En voiture je pensais à ce qui cétait dit : « Tu siffles et jarrive » Il y avait certes, une part de vérité, mais cétait plutôt, elle qui venait et qui sifflait enfin non, elle ne sifflait pas mais venait avec des jupes « pratiques et tentantes » pour ceux qui savaient quen dessous, il ny avait rien. En fait elle offrait un fruit (elle) et jétais là pour gouter au fruit et la satisfaire, elle ne me sifflait pas, elle me tentait et il aurait été malotru de ne pas accepter ce quune jolie femme moffrait. Même si elle pensait réellement cela, jétais prêt à siffler encore, me disant que jessaierais cette méthode, quand jen aurais la possibilité.
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